Alimentation et maladies : l’innovation et son importance

D’ici 2050, les sociétés devront avoir la capacité d’approvisionner approximativement 9 milliards de personnes tout en subissant à la raréfaction des biens naturels. C’est un énorme défi englobant les secteurs aussi distincts que l’économie, la science, l’industrie ainsi que l’agriculture. La question pertinente qui se pose est comment consommer mieux et produire convenablement, de façon plus efficace et sobre ?

L’innovation technologique et l’agriculture

Longuement, l’innovation en matière d’agriculture s’est abrégée au développement des techniques et des technologies susceptibles d’augmenter la productivité. En cinq décennies, la disponibilité par tête en matière d’aliments et de nourriture a connu une augmentation de 27 %, nonobstant l’accroissement en double de la population mondiale. Tous les Etats actuels devront, a priori, avoir la capacité de répondre aux nécessités alimentaires de leur population. Par contre, le PAM ou Programme de l’Alimentation Mondiale détermine que 795 millions d’âmes sur Terre souffrent de plus en plus de la faim. La sécurité alimentaire ne va pas uniquement par l’accroissement du rendement agricole. Les crises ou explosions alimentaires apparaissent pour des raisons de faiblesse physique ou économique de la nourriture, mais à une échelle locale. C’est vrai qu’il faut accroître le rendement à certaines zones, mais il faut autant avoir la capacité de moissonner, de réserver, et de transporter. Pour plus d’informations, veuillez cliquer ici innovation alimentaire

Comment nourrir 9,1 milliards d’âmes ?

Vers 2050, on atteindra l’effectif de 9,1 milliards d’êtres humains sur cette planète, dont 30 % seulement de populations rurales. Du coup, l’espace destiné à l’usage agricole va encore continuer à repousser à l’intérêt de l’urbanisation qui, à partir des années 60, va plus rapide que l’accroissement démographique lui-même. D’après une étude effectuée par le Safer, en 2011 la superficie des régions urbaines s’est multipliée par 3,4 %, seulement en France, quand la population n’a accru que de 2,2 %. Tous les ans, dans le monde, plus de cent mille hectares de terres fertiles donnent sa place au béton, soit l’égale superficie de Berlin en entier. Produire encore plus, mais de manière plus viable et efficace, sera le grand enjeu de ce siècle. Selon une étude récente effectuée par cabinet PwC, l’économie internationale devrait escompter un taux d’accroissement de 2,5% par an. Or, l’apparition de ces nouveaux débouchés va apparaître avec une grande place accordée aux régimes qui incorpore laitages, viandes, et poissons. Ce sont des produits plus nourrissants et plus nutritifs certes… mais également plus friands en ressources. La FAO évalue que, d’ici 30 ans, la production alimentaire riche en protéine telle que la viande devra connaître une croissance de deux cent millions de tonnes pour atteindre les besoins de ces nouveaux débouchés. Or, on nécessite 7 kilos de céréales sans gluten pour pouvoir produire 1 kg de viande.

Comment remédier le manque d’eau ?

En parallèle avec les solutions technologiques jugées pure, l’accroissement de variétés agricoles, suivant calendrier des fruits et légumes, à même de davantage participer à la sécurité alimentaire s’acharne. Plusieurs sont les privilégiés avantagés de façon classique, par l’intermédiaire de la recherche en matière de cultures adaptées aux mutations des sols et aux changements climatiques. Mais il y a également les recherches relatives aux biotechnologies et, particulièrement, les ingérences sur le génome ou haploïde des plantes dont le but est d’améliorer les qualités des vitamines. Certains leaders des OGMS, se mettent en œuvre actuellement sur l’OGM du futur, ayant la capacité de se combler d’apports en eau. Une société siégeant en Argentine, appelée Biocere, réputée pour des recherches biotechnologiques qu’elle effectue, est parvenue à extraire un génique de tournesol pouvant résister au tarissement et à l’injecter dans des semis de soja. L’expertise se porte autant sur la reconstitution de gène de végétaux capables de survivre dans l’eau saumâtre. C’est le cas, par exemple, de certaines variétés de palétuviers constituant les mangroves. On pourrait, du coup, planifier des terres cultivées de céréales arrosées par de l’eau salée. Le grand atout des OGM est estimé, en théorie, à sa disposition à subir aux aléas climatiques et aux épuisements des ressources. De plus, il faut aboutir à dépasser la méfiance due par ces organismes héréditairement modifiés ou OGM, à assurer la sécurité sanitaire des aliments et des produits sans gluten, originel de cette filière, et à enregistrer la preuve, dans la durée et sur le terrain, d’une juste amélioration des productivités comparativement aux espèces non OGM.

Comment procéder à l’amélioration des modes de consommation ?

Si l’innovation alimentaire touchant la matière agricole rassemble un éventail élargi de technologies, elle ne s’y borne pas. Rehausser le défi de la sûreté alimentaire passe, autant, par le fait d’avoir la capacité de renouveler profondément les comportements. La transition agricole va particulièrement par une réduction fondamentale du gaspillage alimentaire. Des maladies, des facteurs météorologiques, de la volatilité des prix, des règles de calibrages, de la surproduction, … sont les responsables de la moitié du gaspillage. Par exemple, en 2007, plus des 20 % des terres cultivables favorisent à produire des victuailles ayant fini dans les poubelles.

Plan du site